Publié dans Société

The Voice - Marghe, la fierté nationale

Publié le lundi, 10 mai 2021

« Nous sommes de tout cœur avec Toi, Marghe ». C’est à travers ces propos que le ministre de la Culture et de la Communication, Lalatiana Andriatongarivo, a félicité Marghe, dimanche dernier, à travers sa page Facebook. Cette jeune femme malagasy est parmi les 4 finalistes qui vont se disputer le titre « The Voice France ».

 

Depuis sa sélection à la première phase de cette compétition, des milliers de fans malagasy n’ont pas caché leur joie et fierté sur les réseaux sociaux. Même de loin, ils ont encouragé la jeune femme et attendaient avec impatience les résultats de cette compétition devant la télé. D’ailleurs, Marghe n’est plus à présenter aux amateurs d’émissions de téléréalité malagasy.

De son vrai nom, Margherita Davico, elle est née à Antananarivo d’une mère malagasy et d’un père italien. Actuellement âgée de 22 ans, la jeune femme a baigné depuis sa tendre enfance dans la musique plus précisément dans les concours de chant. A l’âge de 12 ans, elle a participé à l’émission téléréalité Pazzapa, puis à 14 ans dans « We Love Cover » dont elle a remporté le premier prix. Marghe a hérité du talent de sa tante, El Saphira, qui est aussi un artiste malagasy connue à travers ses titres « Mampamangy », «  Lasa saina ». Margherita et sa famille ont quitté le pays à l’âge de 15 ans pour vivre en France. Mais, elle n’a cessé de poursuivre son rêve. Elle a participé à l’émission The Voice France. A chaque apparition sur scène, Marghe n'a cessé de surprendre le public et les coachs.

La chanson de Joe Cocker, « You're so beautiful » l’a conduite en demi-finale. Pourtant rappel, elle appartient au team de Florent Pagny. Le final aura lieu samedi prochain sur TF1.

Les Malagasy sont talentueux. Plusieurs artistes ont déjà gagné des compétitions internationales.

D-Lain est parmi eux. Il a remporté le Trophée du Castel Live Afrique.

Anatra R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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